En octobre, une étude commanditée par L’Observatoire citoyen des restes à charge au cabinet Asterès vantait les mérites des réseaux de soins. L’économiste Frédéric Bizard publie de son côté une contre-analyse visant à montrer « le vrai visage » de ces dispositifs, qui sera envoyé à tous les candidats à la présidentielle.

« Le rapport Asterès sur les réseaux de soins reprend fidèlement les arguments défendus par les plateformes commerciales qui les opèrent et par les Ocam qui les financent. Il offre une opportunité d’ouvrir enfin le débat », explique Frédéric Bizard, qui analyse dans son contre-rapport les allégations du cabinet en y ajoutant ce qui n’y est pas dit. Ainsi, il assure que, contrairement à ce qu’indique le premier rapport pour justifier la montée en puissance des complémentaires, il n’y a aucun retrait des régimes obligatoires dans le financement des soins, dont le taux de 76,6% est strictement identique à celui de 2000. La France ne ferait pas plus face à un risque d’explosion des dépenses de santé : « les estimations sérieuses d’ici à 2060 prévoient une hausse de 2 points de PIB ». Alors qu’Asterès affirme que les Ocam jouent un rôle essentiel dans l’accès aux soins, le problème du reste à charge résidant essentiellement dans les tarifs libres des professionnels de santé, la contre-analyse indique que la couverture de la population en complémentaire santé est passée de 50% en 1970 à 95% en 2015 et que le marché des Ocam a doublé depuis 2001. « Malgré cela, le renoncement a augmenté », relève Frédéric Bizard, en ajoutant que, sur l’optique et l’audioprothèse, aucune donnée ne vient étayer les accusations de tarifs élevés, la comparaison avec les autres pays européens montrant que, dans les deux secteurs, les prix en France se situent dans la fourchette basse.

Un système in fine inflationniste
L’économiste affirme également que, à l’inverse de ce qu’avanceAsterès, les réseaux de soins ne sont pas un mode de régulation efficace : « Parler d’un modèle de régulation pertinent en santé pour un concept qui vise à maximiser les volumes de prestations par professionnel en contrepartie d’une baisse de tarifs est une ineptie. » Le système dégrade au contraire la qualité des soins et est in fine inflationniste, insiste-t-il, au regard de l’expérience américaine. Frédéric Bizard cite également la récente étude l’Assurance maladie qui, pour l’optique, montre que la maîtrise des prix s’est réalisée en contrepartie d’un taux de renouvellement en forte hausse des lunettes, ce qui augmente la dépense globale. Quant à la pertinence des réseaux en matière de régulation de la qualité, il souligne que « les critères de sélection n’ont aucune valeur scientifique ou sont très généraux. Les réseaux ne disposent pas en outre de personnel suffisamment qualifié pour contrôle la qualité médicale ». Par ailleurs, sur le contrôle de la fraude, « on est dans la situation du pompier pyromane » : non seulement les pratiques des plateformes ne sont pas régulées et d’une grande opacité, mais de plus, l’effet volume représente à ses yeux une incitation à la fraude plus qu’un outil de régulation. Le référencement d’un nombre limité de fournisseurs serait également, selon lui, un obstacle à l’innovation. Faisant notamment référence à Carte Blanche, il certifie que « tout réseau de soins a vocation à devenir acheteur et à se substituer au professionnel de santé dans sa décision thérapeutique ». Enfin, concernant le suivi de la satisfaction mis en valeur par les réseaux de soins, il ne s’agirait que d’une appropriation, par les plateformes, du taux de confiance très élevé des usagers vis-à-vis des professionnels de santé en général.

« Qui supervise l’activité des réseaux ? »
Frédéric Bizard aborde également différents points non évoqués dans le rapport Asterès. Il indique, entre autres, que « les dysfonctionnements croissants du marché des Ocam accélèrent les renoncements aux soins » : les frais de gestion astronomiques diminueraient le retour sur cotisations des assurés,  les garanties sur les soins courants seraient inadaptées à la couverture du risque (tous les contrats prennent en charge les tickets modérateurs pour les soins de ville, ce qui déresponsabilise le patient) et la segmentation segmenté entre les actifs couverts par un contrat collectif et les inactifs couverts par un contrat individuel creuserait les inégalités. L’économiste pointe du doigt l’absence de régulation des plateformes et l’opacité de leurs pratiques : « Qui supervise l’activité des réseaux qui ne font pas moins que d’orienter les Français dans leur prise en charge chez les professionnels de santé et d’imposer à ces professionnels des protocoles de prise en charge ? », questionne-t-il. Il avertit enfin que les réseaux engendrent une médecine à deux vitesses, « innovante pour les plus aisées et low-cost pour les autres », avec en sus une dégradation de l’accès géographique aux professionnels de santé dans certaines zones. Pour Frédéric Bizard, le système des réseaux de soins est tout bonnement incompatible avec une bonne gestion du risque au XXIème siècle, avec les principes fondamentaux de notre système de santé, et conduira à affaiblir considérablement le système de santé si la France persiste dans cette direction.

Pour lire le rapport complet, cliquez ici

Photo : De gauche à droite : Frédéric Bizard, Jean-Yves Le Goff (conseiller de François Fillon pour les questions de santé) et Jean-Luc Sélignan (président d’Optic Libre). 

LOGO

LOGO, nouveau symbole du déclin de l'industrie lunetière française

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Un employé de LOGO à l'oeuvre à Morez, dans l'est de la France, le 18 octobre 2016 ( AFP / Sebastien Bozon )

Menacée de fermeture depuis la fin de sa collaboration avec LVMH, l'entreprise LOGO, dernière grande manufacture de lunettes de France, risque de devenir le nouveau symbole du déclin de l'industrie lunetière française, née dans le Jura à la fin du 18e siècle.

Le long bâtiment blanc du lunetier LOGO s'étire à l'entrée de Morez, commune montagneuse du Haut-Jura où un maître cloutier nommé Pierre Hyacinthe Caseaux réalisa la première monture de lunettes françaises en fil de fer en 1796.
Derrière ces murs, des milliers de montures de lunettes sont découpées, des branches façonnées, de minuscules pièces poncées et polies à la main, et même des diamants sont sertis sur de très luxueuses montures.
"Dans l'usine, on a encore une diversité de savoir-faire qu'on ne retrouve pas chez d'autres lunetiers de la vallée qui ont souvent un bureau de design ici, mais confient la production à un fabricant en Chine", explique à l'AFP Damien Monier, DRH du lunetier jurassien créé en 1896.
Une employée de LOGO, manufacture de lunettes à Morez, dans l'est de la France, le 18 octobre 2016
Une employée de LOGO, manufacture de lunettes à Morez, dans l'est de la France, le 18 octobre 2016 ( AFP / SEBASTIEN BOZON )
"LOGO est la dernière manufacture qui fait encore des lunettes de A à Z", à l'exception de certaines pièces détachées produites en Indonésie, souligne le maire de Morez, Laurent Petit.
Depuis plus de vingt ans, l'innovante société jurassienne dessine, fabrique et commercialise dans le monde entier les lunettes des prestigieuses marques Fred et TAG Heuer, deux filiales du numéro un mondial du luxe LVMH.
Quelque 500.000 paires sortaient chaque année des ateliers du Groupe LOGO qui emploie 177 salariés en France, plus de 200 salariés dans une usine indonésienne et une trentaine aux Etats-Unis, à Hong-Kong ou encore en Italie.
Mais l'idylle s'est terminée en décembre 2015 quand LVMH a annoncé qu'il retirait ses deux licences au lunetier jurassien.
Désormais, une pancarte "LVMH s'il te plaît, pense à Morez ! Panse LOGO et ses 200 emplois", annonce l'entrée de l'usine, et une banderole "TAG Heuer - LOGO n'arrêtons pas 16 ans de succès !" orne sa façade.
- "gestion défaillante" -
Le groupe LVMH met en cause la "gestion défaillante" de la direction qu'il a "maintes fois alertée" depuis 2012, lui signalant "que ces conditions anormales d'exploitation et de gestion ne permettraient pas le renouvellement de la licence".
Un panneau devant l'entreprise LOGO à Morez, dans l'est de la France, le 18 octobre 2016
Un panneau devant l'entreprise LOGO à Morez, dans l'est de la France, le 18 octobre 2016 ( AFP / SEBASTIEN BOZON )
De son côté, la direction de LOGO reproche à son donneur d'ordre de vouloir "abaisser le prix moyen de vente pour faire plus de volumes".
Le Groupe LOGO, dont les 40 millions d'euros de chiffre d'affaires sont réalisés grâce aux produits LVMH (97% pour TAG Heuer et 3% pour Fred), a été placé en redressement judiciaire le 12 mai dernier.
Le 2 novembre, le tribunal de commerce de Lyon statuera sur son avenir.
Direction, salariés et élus locaux sont unanimes: "Seule LVMH peut sauver LOGO en confiant la production de ses lunettes à un éventuel futur repreneur".
D'après Sébastien Mignottet, responsable du comité d'entreprise de LOGO, le lunetier Cémo a déposé un dossier de reprise pour "les brevets, le mobilier et les machines et seulement 34 postes".
En cas de refus du tribunal, le groupe sera liquidé.
"La liquidation judiciaire, on s'y attend. On s'y prépare et les salariés aussi", confie à l'AFP M. Mignottet, qui a mis en place une cellule pour aider les salariés à trouver un autre emploi.
Depuis mars, une trentaine de personnes ont déjà quitté l'entreprise.
Une employée à l'ouevre à la manufacture LOGO à Morez, dans l'est de la France, le 18 o
Une employée à l'ouevre à la manufacture LOGO à Morez, dans l'est de la France, le 18 octobre 2016 ( AFP / Sebastien Bozon )
Pour les autres, ce sera un licenciement de plus dans la vallée de la lunette où les fermetures et les délocalisations d'entreprises se multiplient depuis une vingtaine d'années, au profit de l'Italie et de l'Asie, où les coûts de main-d'œuvre sont moindres.
Le nombre d'emplois liés au secteur dans la vallée est ainsi passé de 4.500 emplois dans les années 80 à 1.600 emplois environ en 2016.
Pour Elsa Alves, 51 ans, ouvrière chez LOGO, le constat est amer: "On a un grand savoir-faire, mais il y a de moins en moins d'emplois".

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C'est la qualité technique qui est ma priorité pour le bien de vos yeux. Être à l'écoute de tous vos besoins. Trouver les meilleurs solutions.






Vous trouverez ici mes services d'opticien vous permettant de rester informer de l'actualité sur l'optique, et de connaître mes offres de services concernant les montures; les verres; et les lentilles. En ventes aussi des piles auditives. Pour vos verres de lunettes je travaille avec ESSILOR et leurs verres progressifs Varilux, mais aussi Mont-Royal et Novacel pour avoir une gamme de prix importante pour toutes les bourses.


Les verres Rodenstock fabricant allemand sont aussi disponible au magasin.



Les verres Mont-Royal et Novacel sont fabriqués en France.

LES DERNIERS VARILUX CHEZ ESSILOR SONT VENDU DANS CE MAGASIN. 









Geoffroy de Sablet Directeur du magasin http://www.opticienchamperret.com/



Lons-le-Saunier : la moitié des salariés de la lunetterie Henry-Jullien licenciée

En redressement judiciaire depuis début avril, la lunetterie Henry-Jullien doit se séparer de plus de la moitié de ses salariés. En cause : des prix de vente trop bas et une mauvaise conjoncture qui ne permettent pas à l'entreprise lédonienne d'équilibrer ses comptes.

"Nous allons nous redresser !" déclare Pierre Fauveau, PDG d'Henry-Jullien, lunetterie depuis 95 ans à Lons-le-Saunier. L'entreprise jurassienne qui compte 61 salariés doit supprimer 34 postes. Le fabricant de lunettes est en redressement judiciaire depuis le 1er avril. La plupart des salariés concernés seront licenciés d'ici la fin de la semaine.

Henry-Jullien avait déjà du se restructurer il y a deux ans. Neuf salariés avaient alors été licenciés. La lunetterie a ensuite effectué d'importants investissants, permettant d'augmenter son chiffre d'affaire de 15 % en 2015. Mais cela n'a pas suffi : après un début d'année catastrophique, Henry-Jullien doit à nouveau baisser ses côuts. L'activité industrielle a été réorganisée. La production se concentre maintenant sur les produits hauts de gamme.

"La recherche du bas-prix est une aberration"

D'après le PDG de l'entreprise, la lunetterie française dans son ensemble est victime des prix de vente aux consommateurs de plus en plus bas : "La recherche du bas-prix est une aberration, c'est toujours ceux qui sont les plus en amont qui trinquent, indique Pierre Fauveau. On n'arrivait plus à sortir de marge, nos produits étaient trop chers pour le marché et pas assez chers pour nous permettre d'atteindre l'équilibre. Nous sommes un des deux derniers fabricants français avec cette typologie : création, conception, fabrication et vente. Ce n'est pas industriellement viable." L'autre fabricant, Logo à Morez, serait lui-aussi en redressement judiciaire.

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histoire d'un confrère



Amis du soir,
L'un de nos suiveurs, qui suit le forum "60 millions de volatiles" a eu cet échange avec un consommateur lambda...
Consommateur:
"Bonjour
J ai vu votre mail sur le forum de 60 millions de consommateurs. Vous y avez posté des réponses intéressantes sur la qualité des verres progressifs et leurs traitements. Auriez vous l amabilité de répondre à quelques questions que je pose au sujet de mes verres méga optic VIP ?
Connaissez vous cette marque ? Mon opticien m a affirmé que elle était comparable au s design de essilor. Qu en pensez vous ?
Je me permet de vous écrire car j ai beaucoup de mal à m y habituer.
je suis surtout gêné dans les pièces mal éclairées
Ma correction est de +0.25 et +2.25 de près et c est ma troisième paire de progressive
Cordialement
Gilles"
NDLR: déjà, ça part mal: Mega Optic, c'est comme Essilor. Bon.
Réponse de notre pote:
"Bonjour,
Tout d'abord, savoir si votre correction a été bien évaluée. C'est la cause majoritaire des échecs adaptation.
Ensuite, que votre opticien vérifie des mesures de base (centrage, hauteurs) afin de voir si tout est impeccable.
Sinon,
J'ai envie de demander à votre opticien: pourquoi vous proposer un verre "comme" le Varilux S Design, et ne pas vous en vendre directement? Pourquoi parler d'un produit qu'on ne vend pas?
Tout dépend, après,du prix auquel vous ont été vendus les verres.
Mega Optic est une boite de verres low-cost, comparer sa production à celle de Essilor, Hoya, Nikon, est un non-sens. Mega Optic peut faire de bon verres, mais laissons chaque chose à sa place; je ne pense pas qu'un concessionnaire Dacia ira comparer ses modèles avec Maserati. C'est pratique courante dans ma profession.
Vous avez donc des verres Mega Optic. Que votre opticien assume ses choix et évite de placer le mot "Essilor" dans sa proposition Mega.
Donc:
1) Vérification examen de vue,
2) Si vous avez payé vos verres le prix de Varilux S Design, lui demander de les remplacer par des S Design, carte de vue pour preuve à la livraison.
Si vous m'envoyez votre facture d'achat, je pourrais vous dire si vous avez payé vos verres Mega au prix de verres Mega."
Réponse du consommateur, avec la facture:
"Bonjour
Tout d'abord un grand merci de m'avoir répondu.
Ma correction a été controlée 2 fois :
- une fois par l'opticien quand je lui ai signalé mon souci d'adaptation au bout de 15 jours de port
- une seconde fois par l'opthtalmo ( consulté il y a huit jours) qui m'a confirmé que les verres étaient conforme à sa prescription
(la carte de vue est de plus conforme elle indique +0,50 de loin et +2,50 et le marquage sur les verres correspond)
L'opticien a vérifié le centrage et peut etre aussi la hauteur ??(avec un appareil comportant un dessin de lunette schematisé??)
Il y a 8 jours, j'ai à nouveau consulté mon ophtalmo pour lui faire part de mes problèmes de vue en basse lumière naturelle : sensation "d’être à l'intérieur d'un aquarium" avec des reflets et un effet de brouillard. Il a vérifié les corrections, l’écart interpupilaire : tout était ok.
Il m'a dit que cela venait de la qualité des verres ...
Lorsque la lumière est correcte pas de soucis sauf quand je lis allongé
J'ai comparé avec mes anciennes lunettes : des Hoya mystyle 1.5 Balance super hi vision achetées il y a 3 ans et demi (correction +0,25 de loin et +2,25) . Dans les mêmes conditions d’éclairage (basse lumière) je n'ai aucun problème. J'en suis à ma troisième paire de progressive.
Les montures de mes 2 paires de lunettes sont rectangulaires ont quasiment la même taille hauteur et largeur
Celle avec les hoya est en tungstène et est cerclée celle avec les Mega est montée avec un fil de nylon
Pour info, je suis rentré chez cet opticien avec l'intention d' acquérir des S design en tout cas des Essilor (marque qu'il vend)
Il m'a affirmé à plusieurs reprises que je ne verrai aucune différence en prenant des mega optic vip hd que les verres sortaient des mêmes usines et que les algorithmes de calcul et les machines étaient les mêmes.
J'ai une garantie d'adaptation sur les mega et je crois d'après ce que j'ai vu sur le site de mega optic qu'il peut se les faire rembourser.
Par contre quand j'ai demandé à l'opticien ce qu'il ferait en cas de problème d'adaptation il m'a dit qu'il pouvait remplacer les verres par
des 3D HD de chez mega (ce que je ne souhaite pas !)
Voilà
Amicalement"
Donc, consommateur paumé, et là, nous nous rendons compte sur la facture qu'il est MGEN ! Réponse:
"Je vois la facture et je comprends mieux ce qui est arrivé.
Pourquoi des verres Mega Optic proposés par l'opticien? Pourquoi cette insistance à éviter de vous vendre des verre Essilor, en particulier des S Design. Explication détaillée à suivre, concentrez-vous bien, lisez bien, et, surtout, croyez-moi bien.
Vous êtes adhérent MGEN. Comme l'immense majorité des porteurs de lunettes MGEN, vous vous rendez chez l'opticien du réseau Optistya, celui qui va vous proposer des verres, selon la propagande MGEN, "40% moins chers en moyenne...".
Comment cela se passe?
L'opticien agréé a une liste de verres. Les prix sont effectivement très réduits. Et, dans le cas de votre demande, les S Design n'en font pas partie. Pour Essilor, une gamme a été mise en place, fabriquée dans un pays asiatique.
Si l'Opticien agréé doit vous vendre une paire de S Design dans le cas de la convention MGEN, il doit faire une demande spéciale. La MGEN ne la refusera pas, mais lui imposera un prix très très bas, car, ce qui compte si vous achetez dans le réseau, pour la justification de ce réseau, c'est la notion de "reste à charge". L'opticien, lui, ne gagne rien ou presque.
L'opticien est dissuadé par la MGEN de vendre certaines qualités de verres, en particulier les verres Essilor.
L'opticien va donc avoir un discours "Optistya-MGEN" bien différent que celui qu'il tient au reste de sa clientèle. Devant un client tel que vous, il va chercher à préserver sa marge au détriment de la qualité. Il fait de la rétention d'information.
Opticien générique équipant un client générique avec un équipement générique, voilà ce que défend la MGEN, et, au passage, la revue 60 millions de consommateurs. En fait, si vous n'aviez jamais connu le haut-de-gamme Hoya, vous ne sauriez jamais qu'il existe, et votre gêne vous aurait semblé normale, comme à tous les porteurs qui ne connaissent que le bas ou le milieu de gamme.
L'opticien agréé doit donc justifier ses choix en vous faisant croire que c'est pour votre bien, et qu'il est plus intelligent dans ses choix.
Qui est le coupable dans tout cela? La MGEN, qui a pour seul but de vous donner l'impression de payer moins "pour la même chose"; l'opticien qui signe le réseau et qui doit se perdre en explications alambiquées, ou le client qui suit aveuglément la propagande de sa mutuelle, sans esprit critique?
Croyez, cher Monsieur, qu'à mon sens, ce système de réseaux que je combat n'est que la mise à mort de l'Optique d'excellence à la française, ainsi que du reste de la médecine personnalisée et de qualité.
Je ne sais quel conseil vous donner pour résoudre votre problème. Vous avez les éléments en mains, et l'explication de texte des règles du jeu que votre mutuelle prend bien soin de vous cacher.: essayez de trouver une solution équitable avec votre opticien.
Dans ce jeu de dupes, seul vous êtes perdant.
Amicalement,"
Mutuelle interventionniste, opticien dans un jeu de quilles, client au radar. Elle est belle, la vie.

Fin mars, un documentaire diffusé fin mars sur France 5 (rediffusé à 4 reprises depuis) présentait une usine de Danyang (Chine) fournissant des montures Lunettes pour Tous comme fabricant également des montures Afflelou. A l’issue d’une contre-enquête effectuée par ses soins, le groupe dément formellement. Pour son président Frédéric Poux, la volonté du reportage « a été de délibérément faire passer n’importe quelles lunettes pour des lunettes Afflelou ».

Le reportage « Lunettes, juste une mise au point » a suivi Paul Morlet, fondateur de Lunettes pour Tous, jusqu’en Chine, dans la ville de Danyang, où le jeune entrepreneur a présenté une usine fabriquant des montures en acétate vendues dans ses points de vente. Le reportage indique que cet atelier fabrique également des « lunettes siglées Afflelou ». Le président du groupe Alain Afflelou n’ayant pas reconnu ce site de production (les usines dans lesquelles l’entreprise fait assembler ses produits sont situées aux alentours de Hong-Kong), a décidé d’envoyer sur place quelques-uns de ses collaborateurs. « Sur place, le 14 avril (soit 3 semaines après la première diffusion du reportage, ndlr), ils ont retrouvé l’usine. Une usine totalement désaffectée, vide de tout moyen de production, sans installation, sans machine-outil et sans ouvrier ni personnel (voir photos ci-dessous). Il semble donc qu’il s’agisse d’un atelier clandestin, soit site de production des montures de Lunettes pour tous, soit monté pour l’occasion du reportage. Il est également avéré que cet atelier produisait massivement des contrefaçons », affirme Frédéric Poux, bien décidé à « rétablir la vérité ». « La lunette désignée par Paul Morlet comme une monture Afflelou est effectivement une contrefaçon, car sa branche ne présente pas le logo de la Griffe Afflelou, alors que celui-ci est toujours ajouté sur les branches avant l’assemblage », ajoute-t-il. Par ailleurs, « des logos contrefaits de Levis trouvés dans l’usine confirment la production massive de contrefaçon dans cette usine, qu’elle soit factice ou non. »
lien
 http://www.opticien-presse.fr/2016/05/12/lunettes-mise-point-groupe-afflelou-denonce-reportage-deliberement-oriente/

Poursuites judiciaires en vue
Fort de cette contre-enquête, le groupe Alain Afflelou s’interroge sur les véritables motivations de France 5 dans ce reportage qui, au départ, était censé dresser un état des lieux du marché de l’optique, de ses nouveaux acteurs, de ses évolutions et des atouts des opticiens, selon la demande initiale de la journaliste ayant réalisé le film. La société, qui estime avoir été piégée, se réserve donc la possibilité de poursuites judiciaires à l’encontre de la chaîne, de la société de production du documentaire, « ainsi que de toute autre personne ayant contribué à cette mise en scène fallacieuse. » Frédéric Poux a également demandé un droit de réponse à France Télévisions.
Contacté par nos soins, Paul Morlet affirme à l’inverse que l’usine présentée dans le reportage est toujours en fonction et a d’ailleurs récemment livré des montures à Lunettes pour Tous. « Je suis très transparent », nous a-t-il déclaré, en soulignant que la journaliste ayant réalisé le documentaire l’a suivi « 40 jours sur un an ». Nous avons tenté de joindre celle-ci pour en savoir davantage sur les conditions du tournage, en vain.

Quid des liens entre Lunettes pour Tous et Xavier Niel ?
De nombreux articles de presse ont fait état d’un soutien financier de Xavier Niel, le fondateur de Free, à Paul Morlet pour le développement de Lunettes pour Tous. L’étude des documents officiels prouvent ces liens. Le bilan 2014 de la société montre que son capital de 10 000€ est détenu pour moitié par Paul Morlet et pour moitié par Kima Ventures, le fonds d’investissement créé par Xavier Niel. Sur 2014, l’apport en compte courant s’est monté à 1,135 million d’euros pour Kima Ventures et à 5 000 euros pour Paul Morlet. Cette année-là, le CA de l’entreprise s’est monté à 1,019 millions d’euros (soit environ 0,02% du marché français de l’optique en valeur), pour 375 878 euros de pertes.

ESSILOR

En 1959 le premier verre progréssif voit le jour chez Essilor grâce à M Bernard Maitenaz. Avant cela il n'y avais que des doubles foyers ou des triple focaux. Il est nommé Varilux 1959: Varilux
1972: Varilux2
1988: Varilux multi design
1993: Varilux Comfort
2000: Varilux Panamic
2004: Varilux Ipseo et Varilux Ellipse
2006: Varilux Physio
2008: Varilux Ipseo new edition Varilux Physio Fit et Varilux Physio Short
2010: Varilux Physio 2
2010: Varilux Comfort New Edition remplace l'anciènne version du comfort
2011: Verres Essilor Amatsi et Amatsi Xtra: La nouvelles gamme de verres progréssifs généralistes de qualité Essilor à prix accessibles.
2011: Varilux Comfort New Edition Short: Le design de référence maintenant dsponible pour les petites montures.
2011: Essilor exeptio et la gamme de verres spéciaux- une offre totalement revue qui repousse les limites des fabrications standards, en couvrant des puissances de +30D à 40D cylindre de 12.50D.
2012: Septembre 2012 sortie du nouveau verre Varilux: VARILUX S SERIES qui a deux révolution technologiques brevetées, Nanoptix et Synchroneyes.
Voir article sur le sujet.
2014: VARILUX E SERIES
2015: VARILUX EYEZEN  Varilux qui remplacera les Varilux Computer



Venez vous informer au magasin pour plus de détail.

Des nouveautés chez ESSILOR. Nouveau traitement plus résistant à la rayure et qui salissures le CRIZAL FORTE. Les verres unifocaux évoluent aussi grâce aux dernières technologies inventé pour les progréssifs free form: les verres advans. Et n'ouvelle évolution en juin 2010 pour ces verres advans avec plus de mesures, c'est le verre Advans-fit Et n'oubliez pas les verres anti-fatigues pour les jeunes travaillant beaucoup devant les ordinateur par exemple.

Nouveautés sur les traitements:
2011 septembre 2011 Traitement Optifog. Traitement anti-reflet anti-rayure qui est aussi fortement anti-buées grace à un petit produit en plus qui permet que la buée ne se dépose même pas.
2012 traitements FORTE UV et OPTIFOG UV. Par rapport aux anciens il y a un traitement anti-UV sur le verre qui protège avec des indices UV comme pour les crèmes solaire.
2012 septembre 2012 le Crizal Kids UV.
2014 Traitement Crizal Forte Prevencia traitement anti reflet contre la lumière bleu
2015 Traitement Crizal Alizé Prevencia









Je vous attend dans le magasin.





News du 12/07/2011 10:03



Les tests au porté d'Essilor approuvés par un institut scientifique indépendant

Depuis 1978, le groupe Essilor teste ses dernières générations de verres en conditions réelles, sur des porteurs, avant leur commercialisation. Ces procédures visent à s'assurer que les performances des verres sont bien perçues par le consommateur au quotidien. Ses protocoles de tests sont désormais validés par l'équipe du Professeur José-Alain Sahel*, de l'Unité de recherche 968 Inserm de l'Université Pierre et Marie Curie de Paris. Cet agrément garantit la fiabilité de la méthodologie Essilor, une taille d'échantillons statistiquement significative et une analyse statistique appropriée. Les objectifs de ces tests, les questionnaires et les processus de collecte de données sont également validés.

Ces protocoles de tests au porté sont la dernière étape du programme « Live Optics », le processus de développement des verres qui intègre également la recherche sur la vision, le calcul et la réalisation de prototype. Ils sont menés de manière croisée et en double insu : les porteurs testent un premier équipement pendant 2 semaines, puis l'autre équipement (avec la même monture mais des verres de génération différente), pendant encore 2 semaines. Ces tests ont par exemple montré une nette préférence des consommateurs pour Varilux Physio 2.0 comparé à Varilux Physio, ou pour Varilux Comfort New Edition comparé à Varilux Comfort : dans ces 2 cas, la dernière génération a été mieux notée sur l'ensemble des critères. Essilor communique sur ces tests. Ses verres et les supports de communication portent désormais le label « Approuvé par les porteurs ».

*Le Pr. Sahel ne touche aucune rémunération à titre personnel pour la validation de ces protocoles

















Voilà un petit article sur les statistique de L’INSEE. Malgré les média, les gouvernement successif et les voix des mutuelles et assurances ne voulant jamais rembourser correctement l'optique. Voilà la vérité.
Aidez vos bon petit opticiens traditionnelles et non les financiers, sinon vos lunettes serons de moins bonne qualités.